
Le week-end 60 matchs avaient été annulés sous la pression de la Fédération allemande de football, la DFB, après la violence des dérapages du 11 février : 800 hooligans du club amateur est-allemand Lokomotiv Leipzig avaient, ce jour-là, mis en fuite 300 policiers et blessé 40 personnes, à la sortie d'un match de cinquième division face à l'équipe de réserve de la petite ville d'Aue. Le hooliganisme, qui avait entaché la réputation des clubs ouest-allemands de première division dans les années 90, renaît donc dans l'est du pays.
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